Courir mauvais pour les genoux ? Quelle question venant d’une personne qui a horreur de courir (et je ne m’en cache pas)
Déjà, vous allez me dire “mais pourquoi te torturer si tu n’aimes pas”….alors, je vous explique.
Je n’ai jamais aimé courir. Depuis mon plus jeune âge, que cela soit en cours de PE ou de mon plein gré, cette activité m’a toujours parue : barbante, sans intérêt et surtout mauvaise pour le squelette avec ses chocs répétés à chaque fois que le pied heurte le sol.
Mes amis coureurs, coaches de course, ou autres grands sportifs me soutiennent mordicus que la course n’abime pas le corps, notamment les genoux.
Alors, courir, mauvais pour les genoux ? Je suis allée à la pêche aux renseignements dans ma Bible, le site de la Harvard School of Medicine et leur avis est formel, courir n’entraîne pas le développement d’arthrose. Voire même, la course régulière protégerait contre le développement d’arthrose. Je vous avoue que j’ai été bluffée à la lecture de tous ces articles !
J’ai continué mes recherches, et je me suis dit “oui, mais le ménisque, il est bien abîmé, non ?”.
Apparemment, bien que 42% des blessures chez les coureurs se situent au niveau des ménisques, cela sera uniquement du à de mauvaises chaussures, des changements brutaux de direction, un sur-entraînement, etc….
Bref, voilà l’excuse, ou ma crainte plutôt, qui était mon grand frein à la course, balayée.
Alors, même si je n’aime pas courir, je sais que pour mon entraînement de montagne, c’est indispensable. J’ai essayé le cardio différent : elliptique, vélo, marche rapide, marche lestée, etc….et je dois humblement avouer que la seule fois où j’ai été très à l’aise au niveau de mon système cardio-vasculaire en altitude, fut depuis que j’ai commencé à courir.
Je ne cours pas souvent : une fois par semaine je fais 16km. C’est tout, et pour moi, c’est déjà très bien.
Mon meilleur temps est de 1h44 pour 16km. J’en étais très fière, jusqu’à ce que des amis supers coureurs me rient au nez me disant ‘ben dis donc, tu n’es pas très rapide”. Ce à quoi j’ai répondu “toi, tu es toi, et moi, je suis moi”. Ha mais !
Moralité : ne laissez personne vous retirer le doux goût du succès de l’esprit.
Conclusion : la course n’est pas mauvaise pour les genoux si elle est bien construite.
Valérie Orsoni
Votre Coach Minceur & Bien-Être LeBootCamp
Créatrice de la marque éco-responsable LiliWarrior
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